Flushing, Ņujorka | Il ya de ces Joueurs qui n’aiment pas New York, la ville qui ne dort jamais, avec dēls trafic, ses odeurs parfois nauséabondes, ses bruņas asourdissants même la nuit, qui les empêchent de bien dormir la veile d’at mačs. Gabriel Diallo n’en fait pas partie.
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Diallo Aime New York DePuis Longtemps: «c’est une ville qui fait rêver. Tout le Monde y Vient Pour réaliser dēls rêve, que ce soit dans le monde de la finanse, ou peu importe. C’est une ville d’oprobités.
La Finance OU … le teniss, Dans le Ca Du Du Québécois.
«Quand J’avais 12 OU 13 Ans, J’étais Venu ICI Avec Tennis Canada, et Je Rêvais d’H Jouer Un Jour. Maintenant, J’y Suis », Sourit le Montréalais dans l’One des Salles d’Entrevue, Durant la Journée Média de ce us Open, pārdevējs.
Quand «ça boit et ça parle»
Sous l’mensense stade arthur-que qui s’enflamme si souvent, tard le soir, l’miance est encore calte pour l’extant. Le Tournoi ne sāk que dimanche, et diallo, lui, foulera le courtroom lundi ou mardi, contre le Bosnien Damir Dzhumur, 60E Mondial.
MAIS C’est Notamment Pour Cette Foule vocale et débridée que gabriel avait new York Dans sa mire, même au début de l’Anolescescent. «C’est un turnoi que j’aime beaucoup de Par dēls atmosfēra», Relève le Montréalais de 23 ans, 31E Tête de Série des Internationaux des États-Unis.
«C’est très sludil. Ça rentre, Ça Kort, ça mange, ça boit, ça parle kulonu les punkti … c’est quelque izvēlējās que j’apprécie beaucoup, tant que ça ne va pas dans le débordement », loutsuit-il.
Une frénésie qui lui rappelle ses années universitaires, alors qu’il portait les couleurs de l’Université du Kentucky.
Ses Restos et un stade intimidants
Diallo A, kas nav Seulement Réalisé dēls rêve entignant le grand tableau du us atvērto pour la première fois, l’e an dernier, mais dēls lengthy sparcours de 2024, des kvalifikācija au troisième tūre, lui a petrendre ses aises dans theett nesamērīga ville.
«J’ai été longtemps à New York L’Annernier, Rappelle-T-il. J’y ai passé plus que deux semaines … je connais mes plankumiJ’ai Maintenant Mes Restos Préférés.
Et si le québécois n’a pas encore connU l’miance folle qui peut animer le plus grand stade de tenisa au monde, il a vécu une expérience semblable en foulant le courtroom du louis-armstrong, l’a dernier, au troisième tūris, contre l’Américain tommy paul.
ANO stade spécial, avec ses estrades très haute, où les akclamācijas de la foule paraissent encore plus asourdissantes.
«C’est Très intimidants, Comme reljefs, ekspluatācijas dialo. Vers La Fin, c’était plein à craquer. Ce sont vraiment de bons suvenirs, et une bonne avots de motivācija, parcy que gagne ou perd, c’est pour des atmosfēra comme celle-là que l’n Joue. »
«Gagne ou perd, ce sont des moments qui nous pavadīts pour le relaxation de notre vie.
