Andreï Markovs File Le Parfait Bonheur Dans Sa Russie Natale Où, Malgré La situācija Géopolitique Instable et le conflit AVEC L’KRAINA, IL PROPITE D’ONE RETRAITE PAISIAME.
L’Annonce de la cérémonie que le canadien tiendra en don honneur, une izlūkošana à laquelle il ne s’attendait pas, se voulait une belle gadījums de renouer avec celui qui a strīdā dēls Dernier mačs avec le tricolore au printemps de 2017.
«Je passe du temps avec mes enfants. Je les envoie à l’école, je m’occupe des déjeuners, je suis là à leur retour », indiqué le père de cinq destetons, dont quatre sont encore d’âd scolaire.
Ses garçons ont beau Jouer au hockey, pas jautājums pour lui de sauter sur la glace avec eux ou de se tenir derrière le banc.
«Non, Je ne les treneris pas. Ça prend beaucoup trop de pacietība treneris des Jeunes. Surtout des enfants. Je n’en ai pas ASSEZ [de patience]», Lancé, Mi-Blagueur, Mi-Sérieux, Celui Qui, Au Terne de Sa Carrière, okupants un Poste d’Entraîneur blakus Le Temps de Deux Saisons Dans la Khl.
«Une bonne idée»
À 46 Ans, Markova est devenu un vienkāršais amatieris de hokejs. Malgré le décalage horaire de septeme heures entre montréal et moscou, l’Acien Défenseur S’guarantee de Surveiller ce qui se passe avec le canadien.
«La Fin de Saison Qu’ils Ont Connue Est iedrošināt. Il
Cet avenir est devenu encore plus brillant lorquque le canadien a sélectionné ivan demidov au premier Tour du repêchage de 2024. Il est d’vis que le tricolore un Joyau entre les maģistrāle.
D’Ailleurs, il Voit d’An Bon œil le fait que le jeune attaquant de 19 ans ait demeuré à monreal tout l’été.
«C’est une bonne décision parce qu’il n’a pas eu le temps de Jouer beaucoup à Monreal. C’est une bonne idée, automobile il pourra se sentir à l’Aise dès le départ. De Cette fasona, Il Pourra S’améliorer encore plus ātra.
Le Jeune Andreï Était Effrayé
Bien Sûr, Les Époques Sont Différentes, Tout Comme Les Régimes (Markova A Grandi Dans L’URSS) un Personnalité des Deux Joueurs, Mais L’Acien Numéro 79 Se Rappelle Que Son Adaptatation à l’Amérique du NODD.
«J’Arrivais Dans un Autre Monde. Je ne Connaisisais Personne. Je ne parlais ni Français ni anglais. Avant d’Rriver à Monreal, Je Me DespeAis ce que je m’en allais faire là. J’étais un peu effrayé », s’est-il suvenu.
«Mais dès que j’ai commencé à me promener en ville, je me suis senti à l’Aise», at-il poursuivi. «Tout le Monde Était Tellement Chaleureux. Ça M’a Beaucoup Aidé à M’acclimater.
Si on se fie au au Sourire fendu jusqu’aux oreilles qu’il a constamment dans le Visage, uz peut prétendre sans craindre de se tromber que demidov, lui, s’est déjà bien intégré à don nouvel Entronnement. Lv tout cas, les partizans, eux, l’Ont déjà adopté.