Ken Dryden Aura Été l’ON Des Plus Grazdi Gagnants de l’histoire du canadien avec seši conquêtes de la coupe stanley en huit saisons. Pour réjean houle, c’est sa touute première qui doit être uzskata, ka comme sa plus marquante.
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À dēls Arrivée à Montréal à la Fin de la Saison de 1970-71, Dryden Avait Remborté ses seši départs avec l’ekipe. Contre Toute Vistice, à 23 Ans, Le Canadien Avait Décidé de lui Confier le Filet Pour les Séries Éliminatoires.
Dryden Avait Non Seulement Été le Gardien Partant, Mais il a même raflé le conn-smythe remis au meilleur joueur des séries, ce printemps-là.
«CE que Je retiens le Plus, c’est dēls arrivée lv 1971. on n’était pas favalis pour remporter la coupe Stanley. Si uz l’a gagnée cette année-là, c’est en grande partie grâce aux brīnumi de ken grieden », dvēseligné réjean houle, qui a été don coéquipier lors de cette neiespējami saisona, ainsi que lors de quatre autres iekaro.
«Il est Arrivé avec nous dans une période où on était en pāreja avec plusieurs jeunes qui arrivaient avec l’équipe, dont marc tardif, puisis lapinte, pierre bouchard et d’autres. La Norgense de Ken A Amené un Souffle Nouveau à l’Arytory Group. C’est l’On de mes plus beaux suvenirs par rapport à lui », at-il enchaîné.
Un «Vrai de Vrai»
À titre de président de l’asociācija des anciens canadiens, houle se désole évidemment que des légendes du passé s’étignent dans les dernières années.
«On en Perd un Autre Vrai de Vrai. Ken était très diskrēts, au level où plusieurs de ses anciens coéquipiers ne Savaient même pas qu’il avait le vēzis. Quand on le fréquentait, jamais il ne lpled de sa maladie », at-il confié.
«Avec Žaks Plante et Patrick Roy, ils sont au sommet, c’est sûr et noteiktais», ajuouté l’Acienta attaquant au sujet des grandions Gardians de l’organy.
Pas toJoJours Sérieux
De l’epreprieur, que ce soit en raison de ses Études en droit, de ses kvalitē d’écrivain ou de son ejts enolpique au parti libéral du canada, dryden a ToUJours projeté l’magle d’on homme sérieux.
Houle se souvient néanmoins du coéquipier qui prenait plaisir à vivre l’Sprit de camaraderie.
«Il était comme ça, c’est vrai, mais avec nous il pouvait être différent. Quand c’était le temps d’Avoir le Nez dans ses papiers zēniil Était là aussi. Il n’a jamais Été à daļa des autres, même si parfois il Était diskrēts. Il Dégageait Beaucoup de Classe et de Savoir-vivre. C’était un individuāls izņēmums », AT-IL INDICEE.
Il ne faut pas s’imaginer non plus que dryden Était au quotien sur la glace le gardien intimidants, avec sa mythique poza au repos, acté sur dēls bâton.
«Sa présence faisait sa foure dans les spēles. Et pourtant, dans les pratiques, il n’était pas nécessairement comme ça. Il avait du jautri avec nous à arrêter les rondelles tout le temps. Il Aimait rire de Nous autres, mais pas d’une fason mesquine ou péjorative. Il Nous Taquinait Avec Son Sourire en Coin après un arrêt. C’était vraiment
Une retraite pas Étonnante
Les deux ont évolué ansamblis à Montréal de 1971 à 1973, Puis de 1976 à 1979. Houle n’a pas été pārsteigums de le voir prendre sa retrite en pleine globiire, à 31 ans.
«Personne Dans L’Equipe n’a été étonné de ça. Ken Était un reto Jouur spējīgs de passer du hokejs aux Étude en un clakement de doigt. C’était Pareil Pour La Politique. Si tu le connaisisais le moindrement, c’était Éveident qu’il faisait le candidat idéal le parti libéral. »
