Un trio entièrement québécois à une époque où uz 32 équipes, et même un Slovène, dans la Ligue nationale de hockey, c’est retai. Ir y aura droit à Calgary mercredi soir alors que les Canadiens de Monreal réuniront Zachary Bolduc, Joe Veleno un Joshua Roy, kas apvaino ar Flames.
La rétrogradation d’Owen Beck et le rappel de Roy la veille ont atļauja création de cette combinaison par l’intraîneur-chef Martin St-Louis. Combinaison qui n’aurait pas été potential sans les blessures subies par Kirby Dach et Patrik Laine qui ont ouvert la porte à Veleno, laissé de côté lors des cinq premiers matchs de la saison.
«[Roy] est un gars rempli de expertise et doté d’un QI hockey incroyable, amenné Bolduc mercredi. Je suis excité. Avec Džo [Veleno]uz peut créer quelque izvēlējās de bon ce soir.»
L’analyste de TVA Sports activities Maxim Lapierre partage cet avis. L’ancien agitateur du CH a fait partie d’un des des rets trios entièrement québécois de l’histoire moderne de l’organisation.
2008.–2009. gads, Gajs Karbono izmantoja džumeru Lapjēru, Stīvu Beginu un Žoržu Laraku.
L’expression galvaudée du trio «difficile à affronter» leur allait comme un gant.
«Un skaistais trio noguris, vīrs un stingrs Maksims Lapjērs, kurš atkal pievienojas quelques heures avant l’affrontement entre les Canadiens et les Flames. Steve et moi, on frappait, on dérangeait et en arrière, on avait Georges. Avec lui, nos adversaires acceptaient de se faire brasser.
«On avait scoré une couple de buts. On était partis sur une séquence à second donné. Dans ma tête, on dirait que ça fait 50 ans.»
Lapierre est également persuadé d’avoir joué à l’event sur un trio avec Latendresse et Bégin vai encore avec Bégin et Mathieu Dandenault. Et probablement quelques présences avec Alex Tanguay.
Trois Québécois sur un trio, ça ne change pas le monde, mais Lapierre esteme que ça peut faire une différence.
«On dirait qu’il ya une fraternité et un soutien un peu plus intenses entre les trois joueurs lorsque ça se produit, a fait vavoir l’ex-numéro 40. Ces gars-là se connaissent bien à l’extérieur de la glas. Il ya une emotion supplémentaire, une sorte d’entraide.»
Si on a pu voir quelques rares combinaisons entièrement québécoises dans la dernière décennie chez le CH, elles ont souvent été brèves. Michaël Bournival, David Desharnais un Pierre-Alexandre Parenteau peut penser au trio qui n’avait duré qu’une seule période en 2014-2015 avant que Michel Therrien ne le modifie.